Puchero (cozinha espanhola) : Le puchero est un pot-au-feu de la cuisine espagnole associant du carne, mouton, du saucisson, du jambon et des legumes.
Le puchero, la plupart du temps très afirmação, est également traditionnel en Amérique latine, où il est très souvent garni d’ouvidos de milho.
« Puchero » (du latin pultarĭus, farine cuite à l’eau) s’applique à plusieurs types de prato en Espagne (Andalousie, Canaries) et en Amérique du Sud (Argentine, Colombie, Paraguay, Pérou et Uruguay).
C’est un plat commun consommé aussi bien par les pauvres que par les riches. La distinction se fait dans le nombre et la variété des morceaux de carne utilisés. Le récipient dans lequel il est cuit et présenté porte le même nom.
La puchera ferroviaire : L’influence sociale du chemin de fer de La Robla a même touché au chapitre culinaire, rendant célèbre un plat dérivé des exigences des longs voyages et de la dure climatologie : la puchera ferroviaire. Elle fonctionne en utilisant la chaleur du moteur de la locomotive. Elle était fabriquée dans les ateliers de Cistierna et de Valmaseda, et était composée d’une carcaças ou d’une doublure de plaque de fer-blanc, hermétique et avec un trou dans le fond pour expulser la vapeur d’eau, et dans l’intérieur duquel se logeait le puchero.
A composição do pote varie en fonction de la zone. Il peut s’agir de feijões à Cistierna, d’un sopa de grão de bico à Guardo, de pommes de terre avec du vitela à Mataporquera ou d’un sopa de haricots à Valmaseda. Le nom varie aussi selon la région où il est cuisiné, pouvant s’appeler aussi « marmite ferroviaire » ou simplement putxera.
– Andalousie : Le puchero andalou, connu aussi sous le nom de pote ou Cozinhou, se compose d’un caldo où ont été cuites des carne de carnede porcde mouton e para frango, com algum bacon e os dont parfois un os de jambon. La base des legumes consiste em grão de bico e batatas. Elle peut être enrichie par des carottes, repolho, aipo, de feijões, a abóbora, de beterraba ou nabos
– Canaries : Le puchero des Canaries est un cardápio complet. Le bouillon permet de préparer une soupe en entrée, tandis que les viandes (mouton, carne, salsicha et bacon), legumes (grão de bico, batatas, Vagem, repolho, abóbora, abobrinha et carottes) et végétaux exotiques (ouvidos de milho, peras, batata-doce) se consomment à part.
– Argentine : Le puchero de Rio de la Plata se réclame d’une origine andalouse. Il fut le plat par excellence de l’Argentine et de la pampa. Contrairement au puchero espagnol où sont consommés caldo, viande et legumes), ce puchero néglige le caldo. Sa spécificité réside dans l’abondance des carne qui prennent le pas sur les legumes, en particulier sur les pois chiches si communs dans les pucheros espagnols. Les ingrédients typiques, outre la carne de carne, les saucisses et le bacon de cochonsão os batatas, carottes, les oignons et les courges. S’y adjoignent les batata-doce, o milho, tomates, pimentas, repolho e ovos.
– Colombie : La tradition veut que le meilleur puchero santafereño se fasse à Bogota, la capitale de la gastronomie en Colombie. Son origine est aussi andalouse, il a été introduit à l’époque de la colonisation espagnole. Le caldoChamado puchero caldito, se consomme comme une soupe ou sopa. o carne et les autres ingrédients sont servis comme plat principal. Dans la composition du puchero de Colombie entrent coxas de frango, viande de porc, carne moida de carne, côtes de carne, saucisses, bananes vertes, batatas, feuilles de chou, alho et cebolas verde.